production écrite sur LA PEINE DE MORT texte argumentatif
production écrite sur LA PEINE DE MORT texte argumentatif 1
Sujet :
La peine de mort n’a jamais été une solution pour lutter contre la criminalité. déclara Victor Hugo. Rédigez un texte ( argumentatif dans une production écrite ) dans lequel vous développez votre point de vue sur l’application de la peine capitale en utilisant des arguments clairs et solides.
voilà quelques productions écrites rédigées par des élèves de la 1 bac comme exemple s’appuyant sur le plan dialectique thèse antithèse et synthèse.
INTRODUCTION
De nos jours, le sujet de la peine de mort a suscité un grand débat dans le monde entier. Il a fait couler beaucoup d’encre de la part des partisans et des détracteurs. Les uns pensent que la peine de mort n’est pas la solution idéale pour lutter contre le crime, alors que les autres affirment le contraire. Qui a raison ? Nous exposerons dans ce qui suit les arguments des deux adversaires.
DÉVELOPPEMENT
Les opposants à l’application de la peine de mort renforcent leur position par un bon nombre d’arguments. En premier lieu, ils déclarent que la peine de mort est un châtiment inhumain, et qu’on on ne peut pas corriger un crime par un autre. En deuxième lieu, ils disent que parfois en exécutant une personne, on exécute toute une famille. L’exemple le plus significatif nous est donné par le personnage du condamné du roman à thèse de Victor Hugo, qui va laisser derrière lui sa vielle maman, sa femme malade et sa fille de trois ans sans personne pour subvenir à leurs besoins. En dernier lieu, ils affirment que la peine capitale ne donne pas une deuxième chance aux condamnés pour se repentir et corriger leurs erreurs.
Toutefois, les partisans de la peine de mort ne manquent pas d’arguments. Tout d’abord, ils avancent que la peine de mort est le meilleur moyen pour donner l’exemple, décourager les criminels et réduire le taux de criminalité. En outre, ils proclament que les prions modernes offriraient une vie beaucoup trop agréable et confortable à des gens ayant commis des crimes abominables. Finalement, ils affirment que toute personne qui tue doit simplement être tuée.
CONCLUSION
Pour conclure et à la lumière de tout ce qui précède, je voudrais souligner le fait que personne ne naît criminel, mais on le devient pour de nombreuses raisons. II faudrait donc s’attaquer à ces racines de la criminalité pour pouvoir la combattre efficacement, au lieu de débattre sur l’application ou non de la peine de mort
la peine de mort texte argumentatif avec des exemples du dernier jour d’un condamné
La peine de mort est l’un des sujets les plus controversés dans le domaine de la justice pénale. Bien que certains soutiennent que c’est une méthode efficace pour dissuader les criminels, d’autres estiment que c’est une violation du droit à la vie et une forme de violence inacceptable. Dans cet argumentaire, nous allons examiner les raisons pour lesquelles la peine de mort ne devrait pas être appliquée, en utilisant des exemples tirés du dernier jour d’un condamné.
Le dernier jour d’un condamné est un roman de Victor Hugo, qui décrit le calvaire d’un prisonnier attendant son exécution. Ce livre est un exemple frappant de la cruauté de la peine de mort et de l’injustice qui en découle. En effet, il est difficile d’imaginer une situation plus angoissante et traumatisante que celle de se préparer à la mort imminente.
Le personnage principal, qui est un condamné à mort, est confronté à un état de désespoir et de désillusion face à la perspective de sa propre mort. Il doit faire face à une série de problèmes psychologiques et émotionnels, tels que la dépression, l’anxiété et l’insomnie, qui sont courants chez les personnes condamnées à mort.
En outre, le roman montre également que la peine de mort ne dissuade pas les criminels de commettre des crimes. Dans le cas du personnage principal, il n’a pas été capable d’échapper à son destin malgré ses efforts pour se repentir et se racheter. Cela montre clairement que la peine de mort n’est pas une solution efficace pour résoudre les problèmes de criminalité dans la société.
Enfin, la peine de mort est également un système qui peut être utilisé de manière abusive. Il est prouvé que les juges et les jurys peuvent être influencés par des facteurs tels que la race, la classe sociale ou l’orientation politique lorsqu’ils prennent des décisions sur la peine de mort. Cela signifie que certaines personnes peuvent être condamnées à mort simplement en raison de leur statut social ou de leur appartenance à une minorité.
En conclusion, le dernier jour d’un condamné nous montre les conséquences dramatiques de la peine de mort sur la vie des condamnés et de leur famille. En plus de cela, il existe également de nombreuses preuves qui démontrent l’inefficacité et l’injustice du système de la peine de mort. Pour ces raisons, il est essentiel de mettre fin à la peine de mort et de trouver des alternatives plus humaines et justes pour punir les criminels.
la peine de mort texte argumentatif
La peine de mort est un sujet qui divise les opinions depuis des décennies. Certains estiment que la peine de mort est un moyen efficace de dissuasion contre les crimes les plus graves, tandis que d’autres soutiennent que cela va à l’encontre des droits humains fondamentaux.
Je crois fermement que la peine de mort est inacceptable et que cela ne devrait pas être une option pour punir les criminels, peu importe la gravité de leurs actes. Premièrement, il y a toujours un risque d’erreur judiciaire. Des innocents peuvent être condamnés à mort et cela est irréversible. Nous avons vu de nombreux cas où des personnes ont été libérées de prison après des années pour des crimes qu’ils n’ont pas commis. Cela montre que notre système judiciaire n’est pas infaillible et que la peine de mort peut causer des préjudices irréparables.
Deuxièmement, la peine de mort va à l’encontre du droit à la vie, qui est un droit humain fondamental. Le droit à la vie ne devrait pas être retiré, même aux criminels les plus violents. La peine de mort est souvent perçue comme une vengeance, plutôt qu’une mesure de réadaptation. Elle ne donne pas aux délinquants la possibilité de se repentir et de se réintégrer dans la société.
Enfin, la peine de mort est coûteuse pour le système judiciaire et pour les contribuables. Les coûts associés aux appels, aux audiences et aux exécutions sont considérables. Cet argent pourrait être mieux utilisé pour aider à prévenir les crimes ou pour aider les victimes de crimes.
En conclusion, la peine de mort ne devrait pas être utilisée comme une option de punition. La justice doit être juste et impartiale, mais aussi réhabilitatrice, afin de donner une chance aux criminels de se repentir et de se réintégrer dans la société. La peine de mort est inacceptable et va à l’encontre des droits humains fondamentaux.
Comment qualifier la peine de mort ?
La peine de mort est une pratique controversée qui consiste à exécuter une personne condamnée à mort par un tribunal. Les opinions sur la peine de mort varient largement selon les cultures, les pays et les individus. Certains soutiennent que la peine de mort est justifiable dans certains cas, tels que les crimes les plus graves, tandis que d’autres la considèrent comme une violation des droits de l’homme.
Merci pour votre motivation
Aucun Etat ne doit avoir le pouvoir d’ôter la vie d’un-e citoyen-ne.
La peine de mort est irréversible: aucune justice n’est à l’abri d’erreurs judiciaires et, dans tous les pays qui l’appliquent, des innocents sont exécutés.
La peine de mort est inefficace: il n’a jamais été démontré que la peine de mort ait un effet plus dissuasif que les autres sanctions pénales.
La peine de mort est injuste: elle est discriminatoire et souvent utilisée contre les pauvres, les malades mentaux, les personnes victimes de discriminations pour leur orientation sexuelle, leur appartenance à une minorité ethnique, nationale ou religieuse.
La peine de mort n’accorde pas de justice aux familles des victimes de meurtre: les effets d’un meurtre ne peuvent pas être effacés par un autre meurtre.
La peine de mort crée de nouvelles victimes indirectes et en chaîne : les proches du condamné.
La peine de mort est inhumaine, cruelle et dégradante: les conditions de vie déplorables dans les couloirs de la mort infligent des souffrances psychologiques extrêmes et l’exécution elle-même est une agression physique et mentale.
La peine de mort est appliquée en violation des normes internationales: elle ne respecte pas les principes de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 qui dispose que toute personne a le droit à la vie et que nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. Elle est également en contradiction avec la tendance internationale vers l’abolition reconnue par trois fois à l’Assemblée générale des Nations unies, appelant à l’établissement d’un moratoire universel sur l’utilisation de la peine de mort (résolutions 62/149, 63/168 et 65/206, adoptées les 18 décembre 2007 et 2008 et le 21 décembre 2010).
La peine de mort ne garantit pas une meilleure sécurité pour tous.
La peine de mort empêche toute possibilité d’amendement pour le criminel.
Contre la peine de mort
Rappelons que la justice a déjà condamné un bon nombre de personnes à la peine de mort, exécutant ainsi plusieurs individus sous prétexte que la mort était la meilleure façon de maîtriser la criminalité. De nos jours, avec les actes criminels de plus en plus violents et atroces, la question que l’on peut se poser est la suivante : Devrait-on abolir ou non la peine de mort ?
Selon moi, il est évident que le fait de répondre à la violence par la violence n’est en aucun cas la solution à ce problème.
En premier lieu, je crois que le système judiciaire est défaillant et qu’il peut s’y glisser quelques erreurs. Dans le passé, il y eut beaucoup trop d’erreurs condamnant des accusés à une mort qu’ils ne méritaient point. En effet, il est arrivé quelquefois qu’après l’exécution du prétendu coupable, le réel meurtrier venait se livrer et avouer son ignoble geste sur l’ordre de sa mauvaise conscience. Comme les enquêtes ne sont pas toujours menées avec le sérieux requis, il faudrait peut-être s’interroger sur la capacité du système judiciaire à juger adéquatement un individu coupable ou non.
En deuxième lieu, j’ai la conviction qu’ici-bas sur terre, il n’y a pas d’humain assez parfait pour juger du comportement d’un autre et encore moins de décider de sa mort. Autrement dit, le droit de vie et de mort n’appartient pas à l’homme, mais à Dieu. Or, les juges ne sont pas infaillibles et dans le cas de la peine de mort, l’erreur judiciaire est irréparable.
En troisième lieu, il est certain que la peine de mort ne fait pas peur aux assassins et autres tueurs en série. Selon des psychologues, lorsque l’homme en arrive à vouloir commettre un crime, dans la plupart des cas, sa lucidité est absente de sa pensée, ce qui signifie que la passion l’emporte alors sur la raison : la seule chose qui l’obsède est de parvenir à ses fins. Pendant que le crime s’effectue, rien ne peut dissuader le meurtrier ou le criminel de s’arrêter.
En conclusion, la peine de mort ne peut empêcher un criminel de perpétrer un crime. Par conséquent, on peut punir sévèrement et avec justice sans tuer car il est moralement grave de tuer un homme avant qu’il ait pu régler ses problèmes avec lui-même et avec la société, avant de lui laisser le temps du repentir.
njuste
La Déclaration universelle des droits de l’homme reconnaît à chacun·e le droit à la vie et ajoute: «Nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.» La peine de mort viole ces droits humains fondamentaux. Tuer ne se justifie jamais, même lorsqu’on suit les ordres d’un État. Un Etat ne peut à la fois interdire le fait de tuer tout en le pratiquant lui-même. Les normes internationales relatives aux droits humains se situent au-dessus du droit national.
Inhumaine
Il n’y a pas de peine de mort «humaine». Quelle que soit la méthode employée, l’exécution ne poursuit qu’un seul but: supprimer une vie. La peine de mort prive une personne de la possibilité d’expier un forfait, de réparer, de se repentir et de s’amender.
Inutile
La peine capitale n’empêche aucun délit. Les études scientifiques n’apportent aucune preuve que la peine de mort ait réellement l’effet dissuasif qu’on lui attribue. Au Canada par exemple, le nombre d’assassinats a diminué depuis l’abolition de la peine de mort. Aux États-Unis, en revanche, il est plus élevé dans les États qui pratiquent l’exécution capitale que dans ceux qui y ont renoncé. Pour empêcher efficacement les délits, il est nécessaire d’avoir un taux élevé d’élucidation des crimes et un système judiciaire travaillant de manière équitable, rapide et conséquente.
Irrévocable
Les erreurs judiciaires et les jugements erronés ne peuvent jamais être totalement exclus. Lorsqu’une peine de mort a été exécutée, il n’y a pas de retour en arrière possible. Depuis 1973 aux États-Unis, 164 personnes condamnées à mort ont été libérées après que la preuve de leur innocence a été faite (état mars 2019 source: Death Penalty Infornation Center). Le nombre exact d’exécutions d’innocents, de jugements erronés et d’erreurs judiciaires avérées ne peut être déterminé avec précision. De faux aveux, des faux témoignages et des expertises insuffisantes peuvent influencer l’issue d’un procès et conduire à un assassinat perpétré par la justice. Dans certains pays, la procédure de condamnation à la peine de mort ne donne pas droit à une défense solide de l’accusé·e sur le plan juridique et n’octroie pas de droit d’action en appel.
Arbitraire
La peine de mort est utilisée de manière disproportionnée contre des gens pauvres ou des personnes appartenant à une minorité. Aux États-Unis, la part des Afro-Américains condamnés est supérieure à la moyenne. En Arabie Saoudite, elle touche avant tout les travailleurs et travailleuses étrangers. Avec la peine de mort, les États satisfont une certaine soif de vengeance populiste – souvent en organisant des procès publics et des exécutions de masse, comme c’est le cas en Iran et en Chine. La plupart des exécutions ne punissent pas des crimes violents mais répondent à des motifs politiques. La peine de mort permet au pouvoir de se débarrasser des personnes impopulaires. Ainsi, des peines de mort sont prononcées pour homosexualité (Nigeria, Arabie Saoudite), pour des délits liés à la drogue (Indonésie, Malaisie) ou pour vol, corruption ou fraude fiscale (Chine).
La peine de mort, c’est une sentence appliqué par la justice consistait à retirer la vie d’un individu ayant été reconnu coupable d’un crime. Il y a des gens qui la considère comme une erreur judiciaire , et il’ en a d’autres qui la considère comme un moyen dissuasif.
Il est admis chez le commun des mortels qu’aucun individu ne peut priver l’autre de sa vie, et ceux qui commettent des crimes particulièrement graves ne méritent pas de vivre,en effet , la peine capital prévient le retour des dangereux criminels dans la société,donc , c’est le moyen le plus efficace pour appliquer la justice et dissuader d’autres personnes de commettre des crimes graves , et on ne peux pas nier que quand la famille de la victime voit le coupable payer pour son crime , elle est soulagée et cela apaise son martyre.Et la famille de l’exécuté ? qui apaisera sa douleur? et ses enfants ? qu’est ce qu’ils vont sentir lorsqu’il voient leur cher père exécuté ?C’est ce la la question la plus importante .
Le système judiciaire a pour mission d’éduquer et d’aider les coupables à revenir au bon chemin , mais un homme exécuté n’est pas un homme à qui la société a offert une Deuxième chance,et en plus , n’y aurait-il que la mort pour châtier l’assassin ?La mort est certaine , alors pourquoi priver l’autre de sa vie ?Est ce que les condamnés ne sont pas des êtres humains ?Pourtant , Victor Hugo a considéré la peine capitale comme » un meurtre judiciaire » puisque les jurys et les bourreaux sont aussi des criminels .On peut condamner le criminel à rester en prison à perpétuité mais non pas retirer sa vie de cette façon inhumaine.
C’est pour ce la que je suis contre la peine de mort et j’estime qu’elle n’est pas plus dissuasive que l’emprisonnement à perpétuité .Finalement , la peine capitale , est absurde, inhumaine , cruelle, et barbare .
Sujet N° 22 : La peine capitale est-elle le moyen le plus fiable pour combattre la criminalité ?
L’Homme a toujours essayé de faire dominer la loi pour lutter contre le crime. Transgresser cette loi peut coûter trop cher. La peine capitale en est la sanction la plus ancienne. Les méthodes pour tuer diffèrent, le résultat toutefois est toujours le même. Mais, cette sanction est-elle le moyen le plus fiable ? Pour répondre à cette problématique, on va de prime abord parler des conséquences d’une telle punition ; en second lieu, on va montrer son inutilité
En réalité, tuer un criminel signifie sans trop réfléchir tuer toute une famille. Cette dernière, sera directement touchée. L’orphelinat des enfants pourrait avoir également des résultats inattendus. On peut imaginer que deviendra le fils d’un condamné à mort.
De plus, tuer un homme, et au lieu de faire peur aux autres, peut faire de lui un héros. La preuve en est que le taux de la criminalité est toujours en progression dans les pays où la peine est pratiquée
Il est vrai que le criminel doit être puni, mais comment ? En exerçant un autre crime ? En tuant une personne qui peut être innocente ? En massacrant un individu désespéré ? En faisant couler le sang et les larmes
La justice est entre deux forces : la loi et la réalité. Et avant de juger quelqu’un, il faut juger la société et les conditions où il vit.
Pour conclure, on peut dire que la peine capitale n’est plus un moyen fiable pour combattre la criminalité. Et si on a à tuer quelqu’un, c’est la misère et le désespoir.
La peine de mort::(2) *
La peine de mort est un sujet d’actualité. Un bon nombre de pays adopte encore cette sentence pour, soi-disant- combattre la criminalité. Doit-on l’abolir? Pour répondre à cette question, on va discuter d’abord l’utilité d’un tel verdict; ensuite on va parler des solutions
En réalité, la peine de mort est inutile. En d’autres termes, ceux qui croient que cette peine supprime de la société la criminalité ont tort. Il s’agit d’un constat: le nombre des criminels est en augmentation même dans les pays qui adoptent la peine capitale dans ses tribunaux. Prenons par exemple l’Amérique des États-Unis où l’homme est en danger continu. Par conséquent, on peut se demander pourquoi on insiste sur une peine qui n’a aucune utilité?
En outre, tuer au nom de la loi est aussi un crime. L’histoire de Victor Hugo qui relate les dernières heures d’un condamné nous révèle l’atrocité du verdict et le sadisme des juges. Il va mourir, peut-être il mérite, mais avec lui meurent sa femme, sa mère et sa fille. Trois veuves sont la victime d’un jugement aveugle. Qui punit qui? Voici la question. Et la solution est claire: c’est la société qui crée des criminels; il faut donc juger la société; c’est la politique qui alimente la haine; il faut donc juger la politique. C’est la misère qui pousse à voler; il faut donc juger l’économie .
La peine de mort(3) *
L’Homme a toujours essayé de faire dominer la loi pour lutter contre le crime. Transgresser cette loi peut coûter trop cher. La peine capitale en est la sanction la plus ancienne. Les méthodes pour tuer diffèrent, le résultat toutefois est toujours le même. Mais, cette sanction est-elle le moyen le plus fiable ?
Pour répondre à cette problématique, on va de prime abord parler des conséquences d’une telle punition; en second lieu, on va montrer son inutilité .
En réalité, tuer un criminel signifie sans trop réfléchir tuer toute une famille. Cette dernière, sera directement touchée. L’orphelinat des enfants pourrait avoir également des résultats inattendus. On peut imaginer que deviendra le fils d’un condamné à mort.
De plus, tuer un homme, et au lieu de faire peur aux autres, peut faire de lui un héros. La preuve en est que le taux de la criminalité est toujours en progression dans les pays où la peine est pratiquée
Il est vrai que le criminel doit être puni, mais comment ? En exerçant un autre crime ? En tuant une personne qui peut être innocente? En massacrant un individu désespéré? En faisant couler le sang et les larmes
La justice est entre deux forces: la loi et la réalité. Et avant de juger quelqu’un, il faut juger la société et les condition où il vit.
Pour conclure, on peut dire que la peine capitale n’est plus un moyen fiable pour combattre la criminalité. Et si on a à tuer quelqu’un, c’est la misère et le désespoir .
La violence familiale est l’ensemble des actes de violence commis entre les membres d’une même famille. Les victimes de ces mauvais traitements sont les enfants et les femmes. Quelles en sont les causes ? Et comment peut-on y mettre fin ?
Les causes de la violence familiale sont multiples. Dans les sociétés traditionalistes, le père est la source de revenus du foyer. C’est pourquoi, il se comporte en despote. Ce statut lui confère tous les droits, parmi lesquels celui de battre ses enfants et son épouse. Le châtiment et les coups sont considérés comme un moyen pour éduquer les enfants. La gentillesse et la tendresse sont perçues comme un signe de faiblesse de l’autorité du père.
La mère maltraitée par le père exerce sa violence sur les enfants, pour se défouler. C’est aussi un moyen de se venger indirectement du père.
La pauvreté constitue le terreau fertile où éclate la brutalité. Souvent, les chefs de famille pauvres s’adonnent à la drogue et aux boissons alcooliques dans le but de fuir les soucis et les problèmes de la vie quotidienne.
La violence provoque une dislocation familiale et la délinquance des enfants. C’est pourquoi, il lui faut trouver des solutions. Les remèdes ne manquent pas. Il faut mettre en place une politique qui vise l’amélioration des conditions de vie des couches défavorisés, du fait que la violence sévit particulièrement dans les foyers nécessiteux. Les pouvoirs publics doivent créer des structures d’accueil et d’écoute des femmes battues et des enfants terrorisés. Une assistance psychologique, juridique et sociale doit être assurée à ces victimes de la violence.
Le père ne doit pas être un dictateur qui a droit de vie ou de mort sur ses enfants et sa femme ; mais plutôt une source de tendresse et d’amour.