des contrôles / évaluations portants sur le Bourgeois Gentilhomme Tronc commun

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des contrôles / évaluations portants sur le Bourgeois Gentilhomme Tronc commun

controle N 1

des controles / évaluations portants sur le Bourgeois Gentilhomme Tronc commun

ACTE I Scène I Maître de musique, Maître à danser, Trois Musiciens, Deux Violons, Quatre Danseurs. Maître de musique,parlant à ses musiciens.
Venez, entrez dans cette salle, et vous reposez là, en attendant qu’il vienne. Maître à danser,parlant aux danseurs.
Et vous aussi, de ce côté. Maître de musique,à l’élève.
Est-ce fait? L’élève
Oui. Maître de musique
Voyons… Voilà qui est bien. Maître à danser
Est-ce quelque chose de nouveau? Maître de musique
Oui, c’est un air pour une sérénade, que je lui ai fait composer ici, en attendant que notre homme fût éveillé.  
Maître à danser
Peut-on voir ce que c’est? Maître de musique
Vous l’allez entendre, avec le dialogue, quand il viendra. Il ne tardera guère. Maître à danser
Nos occupations, à vous, et à moi, ne sont pas petites maintenant. Maître de musique
Il est vrai. Nous avons trouvé ici un homme comme il nous le faut à tous deux; ce nous est une douce rente que ce Monsieur Jourdain, avec les visions de noblesse et de galanterie qu’il est allé se mettre en tête; et votre danse et ma musique auraient à souhaiter que tout le monde lui ressemble. Maître à danser
Non pas entièrement; et je voudrais pour lui qu’il se connût mieux qu’il ne fait aux choses que nous lui donnons. Maître de musique
Il est vrai qu’il les connaît mal, mais il les paye bien; et c’est de quoi maintenant nos arts ont plus besoin que de toute autre chose.  

I)-Compréhension: (10 pts)
1- Complétez: (2pts)

GenreDramaturgeDeux œuvresDate de naissance
    

2- réponds par vrai ou faux  (2pts)

Monsieur Jourdain est pauvre  ……………                 Sa fille s’appelle Covielle ………………..

3- Relevez dans le texte: -une réplique -une didascalie (2pts)

4- Ou se passe la scène? Qu’est-ce qui le montre dans le texte? (1pt)

5-Relevez deux mots qui renvoient à Monsieur Jourdain (1pt)

6 –«…vous reposez là, en attendant qu’il vienne» Que remplacent les pronoms: -vous: -il: (1pt)

7- relevez 4 mots appartenant au champ lexical de la musique et la dance :

8––«…vous reposez là, en attendant qu’il vienne» souligne la subordonnée et dis ( relative/ complétive)

9- pensez vous que les riches peuvent tout acheter ? justifiez (1pt)

10- pensez vous qu’il faut enseigner la musique au écoles ? dites pourquoi ?

controle N 1-2

Cléonte: monsieur, je n’ai voulu prendre personne pour vous faire une demande que je médite il y a longtemps.

elle me touche assez pour m’en charger moi-même; et, sans autre détour, je vous dirai que l’honneur d’être votre gendre est une faveur glorieuse que je vous prie de m’accorder.

Monsieur jourdain: avant que de vous rendre réponse, monsieur, je vous prie de me dire si vous êtes gentilhomme.

Cléonte: monsieur, la plupart des gens sur cette question n’hésitent pas beaucoup. on tranche le mot aisément. ce nom ne fait aucun scrupule à prendre, et l’usage aujourd’hui semble en autoriser le vol. pour moi, je vous l’avoue, j’ai les sentiments sur cette matière un peu plus délicats: je trouve que toute imposture est indigne d’un honnête homme, et qu’il y a de la lâcheté à déguiser ce que le ciel nous a fait naître, à se parer aux yeux du monde d’un titre dérobé, à se vouloir donner pour ce qu’on n’est pas. je suis né de parents, sans doute, qui ont tenu des charges honorables. je me suis acquis dans les armes l’honneur de six ans de services, et je me trouve assez de bien pour tenir dans le monde un rang assez passable. mais, avec tout cela, je ne veux point me donner un nom où d’autres en ma place croiraient pouvoir prétendre, et je vous dirai franchement que je ne suis point gentilhomme.

Monsieur jourdain: touchez là, monsieur: ma fille n’est pas pour vous.

Cléonte: comment?

Monsieur jourdain: vous n’êtes point gentilhomme, vous n’aurez pas ma fille.

Madame jourdain: que voulez-vous donc dire avec votre gentilhomme? est-ce que nous sommes, nous autres, de la côte de saint louis?

Monsieur jourdain: taisez-vous, ma femme: je vous vois venir.

Madame jourdain: descendons-nous tous deux que de bonne bourgeoisie?

Monsieur jourdain: voilà pas le coup de langue?

Madame jourdain: et votre père n’était-il pas marchand aussi bien que le mien?

Monsieur jourdain: peste soit de la femme! elle n’y a jamais manqué. si votre père a été marchand, tant pis pour lui; mais pour le mien, ce sont des malavisés qui disent cela. tout ce que j’ai à vous dire, moi, c’est que je veux avoir un gendre gentilhomme.

Madame jourdain: il faut à votre fille un mari qui lui soit propre, et il vaut mieux pour elle un honnête homme riche et bien fait, qu’un gentilhomme gueux et mal bti.

A- Compréhension : (14pts)

1- De quelle œuvre est extrait le texte ?sou auteur ?son genre littéraire ?son siècle ? (2pts)

2- Que demande Cléonte à Monsieur Joudrain ? (o.5pt)

3- Monsieur jourdain accepte- t-il la demande de Cléonte ? pourquoi ?(1.5pts)

4- Relevez deux arguments employés par Madame Jourdain pour convaincre son mari d’accepter la demande de Cléonte ?(2pts)

5- Relie par une flèche : (2pts)

Didascalie Antithèse AnaphoreMétaphorecomparaison sans outil de comparaisonrépétition d’un méme mot au début de la phrase information donnée par le dramaturgeemploi des mots opposés  

6- Comment s’appelle la fille de Monsieur Jourdain ?(o.5ot)

7- Monsieur Jourdain rêve de devenir un gentilhomme , donner un autre synonyme de ce mot. (o.5pt)

8- Qui est Covielle ? qu’est ce qu’il a inventé ?(1pt)

9- A-t-il réussi à la fin de l’histoire ?Résumez la fin de l’histoire dans un petit paragraphe .(2pts)

10- Un personnage n’était pas au courant mais il a étét informé au dernier moment , qui est ce personnage ? qui l’a informé ? (1pt)

11- Deux personnages exploitaient Monsieur Jourdain , lesquels ? (1pt)

B – production écrite :

Sujet :

Aimeriez-vous être comme Monsieur Jourdain ? Pourquoi ?

controle 2

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TEXTE DE BASE

MONSIEUR JOURDAIN, (après avoir fait deux révérences, se trouvant trop près de Dorimène).- Un peu plus loin, Madame.
DORIMÉNE.- Comment ?
MONSIEUR JOURDAIN.- Un pas, s’il vous plaît.
DORIMÉNE.- Quoi donc ?
MONSIEUR JOURDAIN.- Reculez un peu, pour la troisième.
DORANTE.- Madame, Monsieur Jourdain sait son monde.
MONSIEUR JOURDAIN.- Madame, ce m’est une gloire bien grande, de me voir assez fortuné, pour être si heureux, que d’avoir le bonheur, que vous ayez eu la bonté de m’accorder la grce, de me faire l’honneur, de m’honorer de la faveur de votre présence: et si j’avais aussi le mérite, pour mériter un mérite comme le vôtre, et que le Ciel… envieux de mon bien… m’eût accordé… l’avantage de me voir digne… des…

Questions :

  1. Complétez le tableau suivant : (2p)
Nom complet de l’auteurtitre de l’œuvregenretype de l’œuvre
  1. Qui est le bourgeois gentilhomme ? (1p)
  2. A quelle catégorie sociale appartient M. et Mme Jourdain ? (1p)
  3. Quel personnage M. Jourdain rêve-t-il d’être ? (1p)
  4. Mme Jourdain est-elle d’accord avec lui ? justifiez votre réponse. (1p)
  5. Quelles disciplines (leçons) M. Jourdain apprend-t-il ? (2p)
  6. Citez un exemple de comique de caractère propre à M. Jourdain. (1p)
  7. Quel autre procédé comique apparaît-il dans la réplique de Monsieur Jourdain : «Madame ce m’est une gloire l’avantage de me voir digne. des.» ? Expliquez. (2p)
  8. Relevez dans le texte un exemple de comique de situation. (1p)
  9. Acte 1 scène 1 : comment s’appelle cette scène dans le thétre classique ? Quelle est son rôle ? (2p)
  10. Donnez les noms correspondant aux définitions suivantes : (4pts)
  1. Elle est double, au thétre, car les personnages s’adressent à la fois à d’autres personnages et au public. C’est la ……… .
  2. Situation critique que doivent résoudre les personnages. C’est le ………….
  3. Parties musicales séparant les actes : les ..
  4. Situation dans laquelle deux personnages pensent parler d’une même chose alors qu’ils parlent de choses différentes. Il s’agit d’un …………….
  5. Aimez-vous le comportement de M. Jourdain dans cet extrait ? Pourquoi ? (2

controle 3

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Texte :

Le maître de musique, parlant aux musiciens –venez, entrez dans cette salle, et vous reposez là en attendant qu’il vienne.

Le maître à danser, parlant aux danseurs-et vous aussi, de ce côté.

Le maître de musique, à son élève – est-ce fait ?

L’élève -oui.

Le maître de musique – voyons. Voilà qui est bien.

Le maître à danser – est-ce quelque chose de nouveau ?

Le maître de musique – oui; c’est un air pour une sérénade, que je lui ai fait composer ici en attendant que notre homme fût éveillé.

Le maître à danser – peut-on voir ce que c’est?

Le maître de musique – vous l’allez entendre, avec le dialogue, quand il viendra. il ne tardera guère.

Le maître à danser -nos occupations, à vous, et à moi, ne sont pas petites maintenant.

Le maître de musique -il est vrai. Nous avons trouvé ici un homme comme il nous le faut à tous deux. Ce nous est une douce rente que ce monsieur Jourdain, avec les visions de noblesse et de galanterie qu’il est allé se mettre en tête; et votre danse et ma musique auraient à souhaiter que tout le monde lui ressemblt.

Le maître à danser -non pas entièrement ; et je voudrais pour lui, qu’il se connût mieux qu’il ne fait aux choses que nous lui donnons.

Le maître de musique -il est vrai qu’il les connaît mal, mais il les paye bien; et c’est de quoi maintenant nos arts ont plus besoin que de toute autre chose.

Le maître à danser –pour moi, je vous l’avoue, te me repais un peu de gloire. Les applaudissements me touchent ; et je tiens que, dans tous les beaux-arts, c’est un supplice assez fcheux que de se produire à des sots, que d’essuyer sur des compositions la barbarie d’un stupide. Il y a plaisir, ne m’en parlez point, à travailler pour des personnes qui soient capables de sentir les délicatesses d’un art, qui sachent faire un doux accueil aux beautés d’un ouvrage, et par de chatouillantes approbations vous régaler de votre travail. Oui, la récompense la plus agréable qu’on puisse recevoir des choses que l’on fait, c’est de les voir connues, de les voir caressées d’un applaudissement qui vous honore. Il n’y a rien, à mon avis, qui nous paye mieux que cela de toutes nos fatigues; et ce sont des douceurs exquises que des louanges éclairées.

Questions :

  1. Complétez le tableau suivant : (2pts)
Titre de l’œuvreDate de parutionNom du dramaturgeSon vrai nom
  1. Comment appelle-t-on la première scène de thétre ? Quelle est sa fonction? (1.5pt)

  1. Quels sont les personnages principaux dans ce texte ? (1pt)

….

  1. Où sont-ils ? Pourquoi ? (1.5pt)

….

  1. Répondez par vrai ou faux: (2pts)
  • Le thétre est genre littéraire qui apparut au XXème siècle :….
  • Molière est un dramaturge français vécu au XVIIème siècle : ……
  • M. Jourdain est le personnage principal de la pièce dont ce texte est extrait : ….
  • Cette pièce se compose de 5 actes et 34 scènes : ….
  1. Comment appelle-t-on cette forme de discours en gras dans le thétre ? (1pt)

  1. Comment sait-on que l’on passe d’une scène à une autre ? (1pt)

….

  1. Quelles sont les disciplines que M. Jourdain voulait-il apprendre ? (2pts)

….

  1. Que cherche le maître à danser à recevoir pour son art ? (1pt)

….

  1. Comment pourriez-vous qualifier le Maître de musique ? (2pts)

….

  1. Est-ce que M. Jourdain a réussi de devenir un gentilhomme ? pourquoi ? (1.5pt)

….

  1. Pourquoi à votre avis M. Jourdain ne s’est-il pas présenté dans la première scène ? (1pt)

….

  1. Reliez entre chaque personnage et son rôle dans la pièce : (2.5pts)
  • Nicole
  • Covielle
  • Maître tailleur
  • Cléonte
  • M.Jourdain
  • Valet de Cléonte et amoureux de nicole
  • Amoureux de Dorimène et veut lui faire un sérénade
  • Chargé de préparer les habits des hommes de qualité pour M. Jourdain
  • Servante de M. Jourdain et amoureuse de Cléonte
  • Va se déguiser en «Grand Turc» pour pouvoir épouser Lucile

controle 4

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MONSIEUR JOURDAIN, MADAME JOURDAIN, CLÉONTE, LUCILE, COVIELLE, NICOLE.
CLÉONTE: Monsieur, je n’ai voulu prendre personne pour vous faire une demande que je médite il y a longtemps. Elle me touche assez pour m’en charger moi-même; et, sans autre détour, je vous dirai que l’honneur d’être votre gendre est une faveur glorieuse que je vous prie de m’accorder.
MONSIEUR JOURDAIN: Avant que de vous rendre réponse, Monsieur, je vous prie de me dire si vous êtes gentilhomme.
CLÉONTE: Monsieur, la plupart des gens sur cette question n’hésitent pas beaucoup. On tranche le mot aisément. Ce nom ne fait aucun scrupule à prendre, et l’usage aujourd’hui semble en autoriser le vol. Pour moi, je vous l’avoue, j’ai les sentiments sur cette matière un peu plus délicats: je trouve que toute imposture est indigne d’un honnête homme, et qu’il y a de la lcheté à déguiser ce que le Ciel nous a fait naître, à se parer aux yeux du monde d’un titre dérobé, à se vouloir donner pour ce qu’on n’est pas. Je suis né de parents, sans doute, qui ont tenu des charges honorables. Je me suis acquis dans les armes l’honneur de six ans de services, et je me trouve assez de bien pour tenir dans le monde un rang assez passable. Mais, avec tout cela, je ne veux point me donner un nom où d’autres en ma place croiraient pouvoir prétendre, et je vous dirai franchement que je ne suis point gentilhomme.
MONSIEUR JOURDAIN: Touchez là, Monsieur: ma fille n’est pas pour vous.
CLÉONTE: Comment?
MONSIEUR JOURDAIN: Vous n’êtes point gentilhomme, vous n’aurez pas ma fille.
MADAME JOURDAIN: Que voulez-vous donc dire avec votre gentilhomme? Est-ce que nous sommes, nous autres, de la côte de saint Louis?
MONSIEUR JOURDAIN: Taisez-vous, ma femme: je vous vois venir.
MADAME JOURDAIN: Descendons-nous tous deux que de bonne bourgeoisie?
MONSIEUR JOURDAIN: Voilà pas le coup de langue?
MADAME JOURDAIN: Et votre père n’était-il pas marchand aussi bien que le mien?
MONSIEUR JOURDAIN: Peste soit de la femme! Elle n’y a jamais manqué. Si votre père a été marchand, tant pis pour lui; mais pour le mien, ce sont des malavisés qui disent cela. Tout ce que j’ai à vous dire, moi, c’est que je veux avoir un gendre gentilhomme.
MADAME JOURDAIN: Il faut à votre fille un mari qui lui soit propre, et il vaut mieux pour elle un honnête homme riche et bien fait, qu’un gentilhomme gueux et mal bti.
NICOLE: Cela est vrai. Nous avons le fils du gentilhomme de notre village, qui est le plus grand malitorne et le plus sot dadais que j’aie jamais vu.

COMPREHENSION

  1. Complétez le tableau suivant: (2pts)Titre de l’œuvreLe siècle de parutionLe genreL’auteur
  2. L’extrait appartient -il à la scène d’exposition, au nœud ou dénouement ? (2pts)
  3. Quel en est le thème ? (2pts)
  4. Cette scène met en évidence deux classes sociales , lesquelles ? (2pts)
  5. Est-ce que le père de Mr jourdain était un noble ? justifiez votre réponse. (2pts)
  6. Est ce que Mr Jourdain a accepté la demande de Cléonte ? justifie par un argument du texte.(2pts)
  7. Est ce que Nicole partage l’idée du mariage de Lucile avec un gentilhomme ? quel était son argument ? (2pts)

ACTIVITES DE LANGUE

Transformez les phrases suivantes au discours indirect (2pts)

  • L’élève répond :«la terre tourne autour de soleil»
  • «est ce que tu as changé la place» ,demandait la maman à son fils .
  • Le père ordonne Karim : «Révise tes leçons»
  • Le juge déclara : «le criminel passera deux ans de dans la prison»

Identifier les figures de styles utilisées dans les phrases suivantes : (2pts)

  • Je suis mort de la fatigue
  • Le mois prochain je visiterai la ville de brouillard
  • J’avais un bon manteau, un casque noire , des pistolets et un grand sabre .
  • Ma mère me tue si je ne travaille pas bien.
  • Mon frère habite dans la capitale de la France .

BONNE CHANCE

controle 5

Texte :

ACTE I

L’ouverture se fait par un grand assemblage d’instruments; et dans le milieu du thétre on voit un élève du Maître de musique, qui compose sur une table un air que le Bourgeois a demandé pour une sérénade.

SCÉNE PREMIÉRE

MAÃŽTRE DE MUSIQUE, MAÃŽTRE À DANSER, TROIS MUSICIENS, DEUX VIOLONS, QUATRE DANSEURS.

MAÃŽTRE DE MUSIQUE, parlant à ses Musiciens. Venez, entrez dans cette salle, et vous reposez là, en attendant qu’il vienne.

MAÃŽTRE À DANSER, parlant aux Danseurs. Et vous aussi, de ce côté.

MAÃŽTRE DE MUSIQUE,à l’Élève. Est-ce fait?

L’ÉLÉVE. Oui.

MAÃŽTRE DE MUSIQUE. Voyons. Voilà qui est bien.

MAÃŽTRE À DANSER. Est-ce quelque chose de nouveau?

MAÃŽTRE DE MUSIQUE. Oui, c’est un air pour une sérénade, que je lui ai fait composer ici, en attendant que notre homme fût éveillé.

MAÃŽTRE À DANSER. Peut-on voir ce que c’est?

MAÃŽTRE DE MUSIQUE. Vous l’allez entendre, avec le dialogue, quand il viendra. Il ne tardera guère.

MAÃŽTRE À DANSER. Nos occupations, à vous, et à moi, ne sont pas petites maintenant.

MAÃŽTRE DE MUSIQUE. Il est vrai. Nous avons trouvé ici un homme comme il nous le faut à tous deux. Ce nous est une douce rente que ce Monsieur Jourdain, avec les visions de noblesse et de galanterie qu’il est allé se mettre en tête. Et votre danse, et ma musique, auraient à souhaiter que tout le monde lui ressemblt.

MAÃŽTRE À DANSER. Non pas entièrement; et je voudrais pour lui, qu’il se connût mieux qu’il ne fait aux choses que nous lui donnons.

MAÃŽTRE DE MUSIQUE. Il est vrai qu’il les connaît mal, mais il les paye bien; et c’est de quoi maintenant nos arts ont plus besoin, que de toute autre chose.

MAÃŽTRE À DANSER. Pour moi, je vous l’avoue, je me repais un peu de gloire. Les applaudissements me touchent; et je tiens que dans tous les beaux arts, c’est un supplice assez fcheux, que de se produire à des sots; que d’essuyer sur des compositions, la barbarie d’un stupide. Il y a plaisir, ne m’en parlez point, à travailler pour des personnes qui soient capables de sentir les délicatesses d’un art; qui sachent faire un doux accueil aux beautés d’un ouvrage; et par de chatouillantes approbations, vous régaler1 de votre travail. Oui, la récompense la plus agréable qu’on puisse recevoir des choses que l’on fait, c’est de les voir connues; de les voir caressées d’un applaudissement qui vous honore. Il n’y a rien, à mon avis, qui nous paye mieux que cela de toutes nos fatigues; et ce sont des douceurs exquises, que des louanges éclairées.

I- Compréhension (6 pts)

  1. Complète le tableau suivant :
Titre de l’œuvreNom de l’auteurGenre de l’œuvre
  1. Quels sont les personnages qui discutent dans cette scène ? .
  1. Comment s’appelle le personnage principale ?
  1. À quel ordre social le personnage principale voudrait-il appartenir?
  1. ) Qu’est-ce qu’une comédie-ballet ?

II- Outils d’analyse : (6 pts)

Mettez les phrases suivantes au discours rapporté, avec le verbes introducteur au passé :

1. Elle pourra partir demain soir ? (demander)

2. Je le ferai demain (m’assurer)

3. Si on regardait la télé ce soir? (demander)

4. Vous pouvez ouvrir la fenêtre ? (demander)

5. C’est certain, nous ne pourrons pas y aller (assurer)

6. Nous ferons attention la prochain fois (promettre)

III- Production écrite: (7 pts)

Sujet :

Après un combat sportif, une cérémonie a été organisée dans la ville pour accueillir le vainqueur.

Racontez en veillant à respecter ces consignes :

-respecter la ponctuation.

-Éviter les répétitions.

-utiliser les mots de liaison.

.(1pnt) : Présentation de la feuille

controle 6

des controles / évaluations portants sur le Bourgeois Gentilhomme Tronc commun

Texte :
Cléonte: Monsieur, je n’ai voulu prendre personne pour vous faire une demande que je médite il y a longtemps. Elle me touche assez pour m’en charger moi-même; et, sans autre détour, je vous dirai que l’honneur d’être votre gendre est une faveur glorieuse que je vous prie de m’accorder.
Monsieur Jourdain
: Avant que de vous rendre réponse, Monsieur, je vous prie de me dire si vous êtes gentilhomme.

Cléonte: Monsieur, la plupart des gens sur cette question n’hésitent pas beaucoup. On tranche le mot aisément. Ce nom ne fait aucun scrupule à prendre, et l’usage aujourd’hui semble en autoriser le vol. Pour moi, je vous l’avoue, j’ai les sentiments sur cette matière un peu plus délicats: je trouve que toute imposture est indigne d’un honnête homme, et qu’il y a de la lcheté à déguiser ce que le Ciel nous a fait naître, à se parer aux yeux du monde d’un titre dérobé, à se vouloir donner pour ce qu’on n’est pas. Je suis né de parents, sans doute, qui ont tenu des charges honorables. Je me suis acquis dans les armes l’honneur de six ans de services, et je me trouve assez de bien pour tenir dans le monde un rang assez passable. Mais, avec tout cela, je ne veux point me donner un nom où d’autres en ma place croiraient pouvoir prétendre, et je vous dirai franchement que je ne suis point gentilhomme.
Monsieur Jourdain
: Touchez là, Monsieur: ma fille n’est pas pour vous.

Cléonte: Comment?

Monsieur Jourdain: Vous n’êtes point gentilhomme, vous n’aurez pas ma fille.

Madame Jourdain: Que voulez-vous donc dire avec votre gentilhomme? Est-ce que nous sommes, nous autres, de la côte de saint Louis?

Monsieur Jourdain: Taisez-vous, ma femme: je vous vois venir.
Madame Jourdain
: Descendons-nous tous deux que de bonne bourgeoisie?
Monsieur Jourdain
: Ne Voilà pas le coup de langue?
Madame Jourdain
: Et votre père n’était-il pas marchand aussi bien que le mien?
Monsieur Jourdain: Peste soit de la femme! Elle n’y a jamais manqué. Si votre père a été marchand, tant pis pour lui; mais pour le mien, ce sont des malavisés qui disent cela. Tout ce que j’ai à vous dire, moi, c’est que je veux avoir un gendre gentilhomme.

Madame Jourdain: Il faut à votre fille un mari qui lui soit propre, et il vaut mieux pour elle un honnête homme riche et bien fait, qu’un gentilhomme gueux et mal bti.

Acte 3 : Scène XII

QUESTIONS1- Complétez le tableau suivant: (2pts)

Titre de l’œuvre:Le siècle de parutionSon genre:Son auteur:
Motsdéfinition
Exposition
Scène d’une pièce de thétre où un personnage est seul et se parle à lui-même.
Dramaturge
Prise de parole d’un personnage.

2- Relevez dans le texte deux indices qui montrent que ce texte est un dialogue. (2pts)
3- Que demande Cléante à Monsieur Jourdain ? Justifiez par un exemple du texte (3pts)
4- Répondez par Vrai ou Faux : (2pts)

controle 7

Acte 3 : Scène XII

Monsieur Jourdain, Madame Jourdain, Cléante,

Lucile, Covielle, Nicole.

Cléante: Monsieur, je n’ai voulu prendre personne pour vous faire une demande que je médite il y a longtemps. Elle me touche assez pour m’en charger moi-même ; et, sans autre détour, je vous dirai que l’honneur d’être votre gendre est une faveur glorieuse que je vous prie de m’accorder.

Monsieur Jourdain : Avant que de vous rendre réponse, Monsieur, je vous prie de me dire si vous êtes gentilhomme.

Cléante : Monsieur, la plupart des gens sur cette question n’hésitent pas beaucoup. On tranche le mot aisément. Ce nom ne fait aucun scrupule à prendre, et l’usage aujourd’hui semble en autoriser le vol. Pour moi, je vous l’avoue, j’ai les sentiments sur cette matière un peu plus délicats : je trouve que toute imposture est indigne d’un honnête homme, et qu’il y a de la lcheté à déguiser ce que le Ciel nous a fait naître, à se parer aux yeux du monde d’un titre dérobé, à se vouloir donner pour ce qu’on n’est pas. Je suis né de parents, sans doute, qui ont tenu des charges honorables. Je me suis acquis dans les armes l’honneur de six ans de services, et je me trouve assez de bien pour tenir dans le monde un rang assez passable. Mais, avec tout cela, je ne veux point me donner un nom où d’autres en ma place croiraient pouvoir prétendre, et je vous dirai franchement que je ne suis point gentilhomme.

Monsieur Jourdain : Touchez là, Monsieur : ma fille n’est pas pour vous.

Cléante : Comment ?

Monsieur Jourdain : Vous n’êtes point gentilhomme, vous n’aurez pas ma fille.

Madame Jourdain : Que voulez-vous donc dire avec votre gentilhomme ? Est-ce que nous sommes, nous autres, de la côte de saint Louis ?

I-QUESTIONS : (10pts)

1/Complétez: (1pts)

Titre de l’œuvre:

Sa date de parution: ..

Son genre: …

Son auteur: ..

2/Relevez dans le texte deux indices qui montrent que ce texte est un dialogue. (1pts)

3/Que demande Cléante à Monsieur Jourdain ? Justifiez par une phrase du texte( 1pts)

….

4) d’après votre lecture de l’œuvre, quelle est la vision du mariage selon M.Jourdain ? MME. Jourdain ? 2pt

5) quel est le portrait de Cléante ? qu’est ce qu’il a décidé de faire pour se marier a Lucile ? 2pt

6/Relevez du texte : (2pts)

-une proposition subordonnée. ….

-une subordonne complétive. .

7Identifiez la figure de style contenue dans la phrase suivante : (1pts)(Et votre père n’était-il pas marchand aussi bien que le mien?)

production écrite ( 10 pt ) : A partir du schéma en bas, transformez le dialogue ci-dessus en un texte en prose:

Qui parle ? .. . Cléonte.

A qui ? … M. Jourdain.

De quoi ? … Demander la main de sa fille.

Comment lui répond M. Jourdain ?….. Il refuse.

Pourquoi ? …Cléonte n’est qu’un simple bourgeois, il n’est pas Gentilhomme.

Comment réagit Mme Jourdain ? .Elle est contre son mari.

Quel est son argument ? .. Elle souhaite que son gendre soit un honnête homme, riche et bien fait qu’un Gentilhomme mal éduqué.

Rédaction :

. . . .. .. .. ..

Contrôle continu 4 Nom et prénom :..

Profil ciblé : Tronc commun N° : ..

Année scolaire : 2017/2018 lycée Sebti

Acte 5 SCÉNE V

LUCILE, MONSIEUR JOURDAIN, DORANTE, DORIMÉNE, etc.

MONSIEUR JOURDAIN. Venez, ma fille, approchez-vous, et venez donner votre main à Monsieur, qui vous fait l’honneur de vous demander en mariage.

LUCILE. Comment, mon père, comme vous voilà fait! Est-ce une comédie que vous jouez?

MONSIEUR JOURDAIN. Non, non, ce n’est pas une comédie, c’est une affaire fort sérieuse, et la plus pleine d’honneur pour vous qui se peut souhaiter. Voilà le mari que je vous donne.

LUCILE. À moi, mon père!

MONSIEUR JOURDAIN. Oui à vous, allons, touchez-lui dans la main112, et rendez grce au Ciel de votre bonheur.

LUCILE. Je ne veux point me marier.

MONSIEUR JOURDAIN. Je le veux moi, qui suis votre père.

LUCILE. Je n’en ferai rien.

MONSIEUR JOURDAIN. Ah que de bruit. Allons, vous dis-je. Çà votre main.

LUCILE. Non, mon père, je vous l’ai dit, il n’est point de pouvoir qui me puisse obliger à prendre un autre mari que Cléonte; et je me résoudrai plutôt à toutes les extrémités, que de. (Reconnaissant Cléonte.) il est vrai que vous êtes mon père, je vous dois entière obéissance; et c’est à vous à disposer de moi selon vos volontés.

MONSIEUR JOURDAIN. Ah je suis ravi de vous voir si promptement revenue dans votre devoir; et voilà qui me plaît, d’avoir une fille obéissante.

I-QUESTIONS : (10pts)

1/Complétez: (1pts)

Titre de l’œuvre:

Sa date de parution: ..

Son genre: …

Son auteur: ..

2/Relevez dans le texte deux indices qui montrent que ce texte est un dialogue. (1pts)

3/Que demande Monsieur Jourdain à Lucile ? Justifiez par une phrase du texte (1pts)

….

4 est ce que Lucile a accepté , au début , la demande de son père ? Justifiez par une phrase du texte (1pts)

5) quel est le portrait de Cléante ? qu’est ce qu’il a décidé de faire pour se marier a Lucile ? 2pt

.

6/Relevez du texte : (2pts)

-une proposition coordonnée . ….

-une subordonne complétive. .

7 Identifiez la figure de style contenue dans la phrase suivante : (2pts)( . Comment, mon père, comme vous voilà fait! Est-ce une comédie que vous jouez?

production écrite ( 10 pt ) : A partir du schéma en bas, transformez le dialogue ci-dessus en un texte en prose:

Qui parle ? .. . Cléonte.

A qui ? … M. Jourdain.

De quoi ? … Demander la main de sa fille.

Comment lui répond M. Jourdain ?….. Il refuse.

Pourquoi ? …Cléonte n’est qu’un simple bourgeois, il n’est pas Gentilhomme.

Comment réagit Mme Jourdain ? .Elle est contre son mari.

Quel est son argument ? .. Elle souhaite que son gendre soit un honnête homme, riche et bien fait qu’un Gentilhomme mal éduqué.

Rédaction :

des controles / évaluations portants sur le Bourgeois Gentilhomme Tronc commun

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Author: Prof.Ziani

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